Pallaksch est un mot d'une langue inventée, bégayée par Hölderlin dans sa tour à Tübingen. Pallaksch, Pallaksch est le titre de cet ensemble de récits où se mêlent personnages et animaux pour dire à la fois oui et non, j'y suis et je n'y suis pas à un monde qui, lorsqu'il n'a pas prévu leur destruction, a cessé de prendre en compte leur existence. Au centre du livre, comme au cœur de ce monde en proie à la violence, un écrivain s'entaille la main en coupant un morceau de bois. Bientôt il ne supportera plus le chant des oiseaux et se fera couler de la cire dans les oreilles...