Le déterminateur répond au nom : Jacques Jules Langa. Il est appelé à une vengeance, par les siens. Il invoque, il appelle. Il trouve le moyen de l’invasion. Il marche, il se fait pur animal de mouvement. C’est ainsi que les pensées lui viennent. Il détermine les pays : la côte langéenne, son trou au bord de la côte, la cité de ses pairs ; et en face, à midi et quart, les îles ancien-chrétiennes, où Chrysostôme domine. Voilà. Ceci fait, le geste s’explique. Le récit se dénouera par épuisement du sujet. Les choses se produisent. Il faut les croire. La croyance vient du corps de Jacques Jules Langa. Elle forme la langue du geste. C’est la seule clef. À la fin, il l’a reconnu. Il n’a plus rien à faire. C’est pris. Il a fait tout son possible. Jacques Jules Langa n’a plus rien, dessous, ni derrière, ni devant lui. L’ennemi s’est lancé en l’air, emportant les fils. C’est la seule clef.