Les zones d'éducation prioritaires (ZEP) ont été instituées dans l'éducation nationale française sous le ministère d'Alain Savary en 1981. Le modèle était importé d'Angleterre. Il consistait à susciter des dynamiques nouvelles autour des établissements scolaires des quartiers désignés comme « difficiles » (sur des critères socio-scolaires qui incluaient alors la proportion d'enfants d'immigrés), en associant dans des projets éducatifs concertés un ensemble d'opérateurs extérieurs à l'école, reconnus comme « partenaires » : membres d'associations, travailleurs sociaux, équipements socio-culturels, habitants... À l'époque cette politique était surtout incitative. La politique de la ville, structurée en 1990, a d'emblée compris une composante éducative qui a déterminé la « relance » des ZEP. Il s'agissait de reprendre l'orientation initiale (partenariats éducatifs, projets) en la renforçant par des dispositifs de discussion, de financement, de suivi. Comment l'institution scolaire s'est-elle adaptée au nouveau jeu des ressources et des contraintes auquel elle était invitée ? Cette question générale a été à l'origine de l'étude dont on trouvera ici la première partie.
Collection : Les Cahiers de l’Iremam
Publication : 22 octobre 2013
Intérieur : Noir & blanc
Support(s) : eBook [PDF + ePub + Mobipocket + WEB]
Contenu(s) : PDF, ePub, Mobipocket, WEB
Protection(s) : Marquage social (PDF), Marquage social (ePub), Marquage social (Mobipocket), DRM (WEB)
Taille(s) : 2,73 Mo (PDF), 3,54 Mo (ePub), 7,24 Mo (Mobipocket), 1 octet (WEB)
Langue(s) : Français
Code(s) CLIL : 3081
EAN13 eBook [PDF + ePub + Mobipocket + WEB] : 9782821830141
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