« Baptisez-la Noé, la fusée interplanétaireQui, lorsque vous aurez fini de ravager la terre,Vers quelque exoplanète habitable vous portera,Pour y recommencer, du haut d’un nouvel Ararat,Votre tâche de prédateurs d’un monde encore vierge,Sans propriétaire, conseil syndical ni concierge. »