En 1944 et 1945, Brigitte Friang était dans un Camp de la mort, après être passée entre les mains de la Gestapo ; en 1943, à dix-neuf ans, elle était entrée dans un réseau militaire d'action de Londres — c'est elle qu'André Malraux a choisi de mettre en scène dans le chapitre de ses « Antimémoires » consacré à la Déportation…Au début de 1968, on la retrouve dans un faubourg de Saïgon, au plus fort de l'offensive du Têt, sur fond de rafales et d'explosions, un micro à la main. En 1967, elle était au Sinaï, lors de la guerre des Six Jours ; en 1956, à Suez ; en 1954 à Dien Bien Phu…Ce qu'elle a vécu, Brigitte Friang le raconte avec passion. Avec humour aussi. Une vie au cœur de l'histoire.Association Liberté-MémoireCONSEIL : Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Étienne Bauer †, François Bédarida, Claude Bouchinet-Serreulles président, Jacques de Bourbon Busset de l'Académie française, Jean-Louis Crémieux-Brilhac, Gabrielle Ferrières, Stéphane Hessel ambassadeur de France, François Jacob de l'Académie française, Serge Ravanel, Germaine Tillion présidente d'honneur, Jean-Pierre Vernant.