« Vents prévus 425 km/heure », mais ce n’est pas fait pour inquiéter les gens de Darwin, qui en ont vu d’autres depuis « Tracy » qui détruisit la ville comme sous un bombardement voici peu. Pourtant c’est un très étrange cyclone qui se prépare. Des aborigènes claquant par centaines en Terre d’Arnhem, et son siège de député remis en cause pour si peu ? Le brasseur Goulburn supporte mal, et entre en guerre... Et que diable allait fiche par là au même moment cet ancien ami de Maurice Thorez, ex-membre du Comité central, devenu, lui, bien davantage « qu’opposant au Parti » ? Rafales de fin du monde de chaque côté de « l’œil » du cyclone, deux filles, l’une « aryenne », l’autre pas, emportées comme des fétus de paille, pendant que des camions chargés « d’Abos » droit venus de l’Âge de Pierre donnent l’assaut à la brasserie Goulburn...