Un enfant naît, un enfant meurt : de son apparition à son enterrement, quinze jours de joie, d’angoisse, de tristesse. Les témoins de cette « existence » sont ses parents, les médecins, les infirmières, qui luttent ; puis les employés des pompes funèbres, qui font leur métier. Comme la mort, la douleur qu’elle provoque n’a nul besoin d’être commentée. Il lui suffit d’être dite avec les mots les plus simples ; d’autant plus émouvants qu’ils invitent au silence.