Après avoir publié "Le bréviaire du crime" (Prix de l’Humour noir 68) et "Le bréviaire de l’amour sorcier", il s’attaqua à la peinture des mauvais lieux de Paris, de la banlieue et de la Côte d’Azur. Puis, toujours sur sa lancée, guida ses lecteurs dans les bistrots secrets de la capitale, ses escales mal famées et ses bals insolites. Ces périples dans le monde mystérieux et inquiétant de la pègre, n’empêchent toutefois pas Ange Bastiani d’écrire régulièrement des romans à suspense, où évoluent - au cours d’intrigues savamment nouées - les personnages pittoresques ou dangereux qu’il côtoie chaque jour dans son existence mouvementée.