La gloire de Paris est intellectuelle et spirituelle. Ses joyaux les plus précieux sont des églises et des chapelles vivantes. Pour le pèlerin et le spectateur, quels changements en peu d'année, de Chateaubriand et de Huysmans, aux prêtres ouvriers faisant le coup de gueule et le coup de poings aveec les grévistes contre les CRS. Peu de gens, avouons-le, souffrent de cet avilissement et de cet enlaidissement. Le culte public s'altère, dans l'indifférence générale, celle de ces foules que les réformes introduites, ici et là, prétendent atteindre. Cet état de choses a certainement des raisons théologiques, qu'il ne nous appartient pas d'examiner...