Je veux que l’histoire de Léna ne prenne pas la poussière sur les tables de chevet. Je veux que les femmes le lisent, le recommandent, se le prêtent, en parlent, qu'elles ne soient pas gênées de leur lecture. Léna Soulat est mon premier roman. A 35 ans j’ai choisi de concrétiser un rêve d’écriture, malgré une vie bien remplie de femme, de mère, d’employée et de conjointe. A quoi servent les rêves si ce n’est d’essayer de les réaliser?