Patrick Genre vit dans le Haut-Jura. Son œuvre interroge notre monde avec une intention sociale et politique déclarée. Aux éditions L’Harmattan, après Nuit blanche, nuit noire (2019), comédie sur le racisme et les migrants, Cages (lauréat Vivons les mots ! 2020), pièce à l’humour décapant, Dernière lettre d’amour (2023), qui évoque la possibilité d’un amour entre une victime et son tortionnaire, il présente ici Trois-cent-soixante-cinq portraits du dictateur, sur les rapports entre un tyran et son portraitiste.