D’aussi loin que Mégann se souvienne, créer des univers a toujours été un moteur pour lui permettre d’avancer. Jouer à faire semblant et imaginer des aventures n’ayant ni queue ni tête étaient les seules choses qui l’intéressaient. Puis, elle a appris à lire; improviser la fin des romans entre ses mains est rapidement devenu plus intéressant que d’en découvrir la suite.À l’aube de la trentaine, elle lance Déportation, le premier tome de la série Le Tournoi.