"Commencez ce livre, vous ne pourrez plus vous l'arracher des mains. Quant à savoir dans quel rayon le classer, peu importe. Vargas est unique en son genre." Téléobs "Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?" Ça amuse les Parisiens. Depuis quatre mois, cette phrase accompagne les cercles qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs ; en leur centre, prisonniers, un débris, un déchet, un objet : trombone, pince à épiler, patte de pigeon... Le phénomène fait les délices des journalistes et des psychiatres. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite "suintent" la cruauté. Il le sent : bientôt, de l'anodin on passera au tragique. L'Homme aux cercles bleus était l'acte de naissance du commissaire Adamsberg. Après une longue absence, il réapparaissait dans L'Homme à l'envers. Entre-temps, on découvrait la trilogie des "Évangélistes" (Debout les morts, Un peu plus loin sur la droite, Sans feu ni lieu), où trois jeunes chercheurs "dans la merde" - Mathias le préhistorien, Marc le médiéviste et Lucien le contemporanéiste – cohabitaient dans une baraque pourrie de la rue de Chasle. Ce livre a reçu le prix du Festival de Saint-Nazaire.