Psychologue genevoise, Diana se ressource aux abords du lac Majeur, seul lieu où ses migraines lancinantes lui laissent un peu de répit. Antonio, ethnologue réputé, espère accomplir sa mission sur le Vieux Continent avant de rejoindre Quito. À la fin de ses journées de vendeur ambulant, l’amnésique Enero cherche du réconfort auprès de La Perdida, sans savoir qu’un homme au chapeau se lance sur leurs traces, guidé par l’esprit du serpent.
D’Europe, ce roman choral nous mène en Amérique du Sud, dans les tumultes de la guerre verte et ses conséquences.
Dans la veine d’un Luca Di Fulvio, Manuela Ackermann-Repond tisse ici une saga palpitante sur la quête d’identité, dans laquelle les enfants de Boyacá incarnent l’histoire tragique de leur pays.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Manuela Ackermann-Repond se consacre à l’écriture sous tous ses aspects. Dans ses textes, elle explore les relations humaines, questionne le déni et effleure le hasard. Elle est l’auteure de La capeline écarlate (Slatkine, 2017) et L’âme déracinée (Slatkine, 2019).