Deux livres, parus antérieurement à nos éditions, Il faut que Rome soit détruite et Dieu et ses successeurs, ont fait connaître Marc Dem comme un historiographe impitoyable de la subversion qu’il dit installée dans l’Eglise depuis le Concile Vatican II. Avec Dieu persiste et signe éclate la note d’espérance. Car, en dépit de théologiens de l’aventure, de prêtres dévoyés et d’évêques honteux, un redressement s’opère. La barque de Pierre semble à nouveau gouvernée tandis que se manifeste dans le monde, et en particulier dans les pays communistes, un renouveau de la foi. Ce troisième volet du triptyque, que l’on peut lire indépendamment des précédents, est traité comme ceux-ci sous une forme narrative qui tient jusqu’au bout le lecteur en haleine.