Bientôt, il y aura en France davantage de chiens-chats (et autres bestioles) que d’êtres humains. Déjà, les grands prêtres de la nouvelle religion zoophile (genre B.B., Bougrain-Dubourg et beaucoup, beaucoup d’autres) s’emploient à nous convaincre que les animaux valent mieux que nous : essayez donc de torturer un chien pour voir ce qui va vous arriver… Mais alors, lorsqu’ils seront plus nombreux que nous, qui ramassera les crottes ? Hélas ! Cette dictature de bébêtes, cette colonisation canine, cette insupportable occupation allemande par bergers du même nom, n’est pas, loin s’en faut, une simple question de crottes. Le mal est au plus profond de nos âmes. Il faut d’urgence l’en extirper, avant que notre belle France, dont la vocation est d’être peuplée de veaux, ne se transforme en immense chenil. Face au péril, ce petit livre voudrait aboyer très fort… et s’efforce de mordre !