« Le voilà, le glorieux. Le roi des rois. Dominant son peuple. Matant l’univers du bout de son membre tendu. Plaisir puissant de jouir, en laissant la femme, cette chose, se ratatiner d’amour et de frustration. Se ratatiner ? Même pas. Le roi des rois peut jouir en paix. La chose n’est que bonheur, offrande, tendresse. Le roi des rois donne des coups de boutoir royaux, que dis-je, impériaux. Crescendo. Zeus se montre dans toute sa splendeur. Consume-toi, pauvre femelle, d’avoir survécu à l’orgasme du mâle. » Claudine Béja.