« J’ai tenté de retracer ici la jeunesse, les années de formation et les aventures du mime Makarius Steiner. Il s’agit d’un personnage qui était déjà présent dans les pages de deux de mes romans, Saltimbanques (2000) et Kaléidoscope brisé (2001), où il jouait un rôle majeur. Cette nouvelle mise en scène s’est avérée nécessaire parce que je ne l’avais pas alors exploré dans toute sa profondeur et comme il le méritait. De ce fait, il avait continué à hanter mon esprit et exigeait une reprise de parole. Ce nouveau roman est ainsi un exercice de fouilles archéologiques dans mon propre imaginaire, à la recherche des éléments qui faisaient de lui un personnage aussi fascinant. » (Sergio Kokis)