« ... Suivre la vie passionnée d’Elisabeth, c’est se plonger dans le romantisme d’une époque heureuse qui ignorait encore les réactions en chaîne de l’atome violé par les physiciens trop curieux ; c’est vivre l’évolution romanesque d’une femme à la beauté resplendissante qui, entre le lac de Starnberg, les plaines immenses de la Puszta et les rives fleuries de Corfou, chercha le bonheur ordinairement interdit aux grands de la terre ; c’est écouter aux portes du passé le rythme grisant des valses viennoises, qui berçaient les rêves d’Elisabeth (Sissi, pour sa famille et les intimes) sur les bords du Beau Danube Bleu. » Maurice Dekobra