Autrefois appelées « glandes vasculaires closes » en raison de leur vascularisation très riche, ce n’est qu’au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle et au début du XXe que les cliniciens réussirent à établir des relations entre l’altération des glandes endocrines et certains états pathologiques. Parallèlement, les physiologistes et les biochimistes parvenaient peu à peu à préciser la nature des hormones et à en étudier expérimentalement les actions. Hypophyse, glandes thyroïde, parathyroïdes ou génitales, épiphyse ou glande pinéale… Jacques Decourt vous explique tout dans cette 3e édition publiée en 1978.