« Avec la majorité des sports d'équipe, on enfonce désormais une porte ouverte, en découvrant que la défense prend - de plus en plus - le pas sur l'attaque. En rugby, on en arrive ainsi à ce paradoxe : l'arrière, l'homme seul, le dernier rempart, devient celui qui maintient la flamme et ravive l'espérance, pour la survie du jeu "ouvert". Ultime recours défensif, s'il reste prisonnier de sa fonction initiale, l'arrière devient, s'il s'en libère pour apporter sa contribution au mouvement nouveau, le premier argument offensif. D'ailleurs, qu'est-ce que Serge Blanco dans le rugby français actuel, sinon l'attaquant des attaquants ?... »