Platon n’a pas menti. Les “colonnes d’Hercule” étaient bien autrefois “les portes de l’Atlantide”. En plein océan, au large des côtes africaines et européennes existait, il y a 12 000 ans, une série d’îles fabuleuses que la Tradition considère comme le royaume de Poséidon. Pour Guy Tarade, il ne fait aucun doute que les Atlantes avaient des liens étroits avec des civilisations cosmiques : le continent englouti était le dernier pont reliant l’humanité déchue à ses Ancêtres Supérieurs. Après une longue série de voyages d’études, aux Canaries, aux Açores, en Afrique, dans la Vallée du Nil et sur les antiques terres celtes, Guy Tarade a retrouvé les traces des derniers Atlantes. Il assure qu’une gigantesque migration a précédé la disparition de l’Ile Infortunée et qu’il est possible de découvrir, un peu partout dans le monde, les vestiges d’une Autre science, détenue jadis par des hommes que l’Histoire assimila à des demi-dieux. Les portes de l’Atlantide s’ouvrent sur des horizons fantastiques mais réels, que des preuves archéologiques viennent concrétiser. Cet ouvrage serait cependant incomplet s’il ne tentait pas de percer l’énigme de ces cosmonefs interplanétaires inconnus, dont la présence est signalée très souvent sur les terres de l’Ancien Monde. L’Éternel retour n’est pas un mythe, l’Atlantide c’était hier, l’Age d’or est peut-être pour demain.