Après vingt ans de silence, Jean-Claude Ibert s’est résolu à publier ce livre où, peut-être, sont dites des choses qui n’auraient jamais dû l’être. On ne célèbre pas impunément la mort de l’homme, pas plus qu’on ne confond sans risque l’univers du langage et le langage de l’univers. Mais que peut la poésie, que devient la parole pour un couple, une civilisation, une espèce, lorsque sonne la dernière heure ?