Dans toutes les armées du monde, les nageurs de combat sont considérés comme une élite parmi l’élite. Au début de la dernière guerre, les nuatatori du prince Borghèse coulent des navires anglais dans les sanctuaires de la Couronne, à Alexandrie et Gibraltar. Une poignée de Français, sans équipement ni entraînement, leur rendent la pareille dans le port de Tunis. Un réserviste de la Navy, le commander Lionel Crabb, invente des pièges diaboliques pour contrer les attaques des maïali en Méditerranée. Les nageurs de combat de la Kriegsmarine tentent de retarder l’avance alliée, en Normandie, à Anvers, et se fracassent contre les ponts de Nimègue. Les farouches hommes noirs de Skorzeny lancent des attaques suicides contre les ponts du Danube pour freiner les déferlements de l’Armée rouge. La triste péripétie du Rainbow-Warrior, en 1985, ne réussit pas à ternir la gloire des nageurs de combat...