"Tout à coup, on a sonné. Nous nous sommes regardés tous les trois, en nous demandant qui pouvait venir à cette heure-ci. Nous n’attendions personne. J’ai regardé la pendule sur la cheminée. Il est neuf heures. Je me suis levé. J’ai consulté maman du regard pour qu’elle me dise si je devais aller ouvrir. Elle a dit : — J’y vais. Elle est allée dans le vestibule. J’ai entendu maman qui s’exclamait : — Ah ! Un grand « Ah ! » étonné, puis un silence..." Que peut-il bien arriver à la tante Mathilde, d’habitude si gaie, et à son anarchiste, hurluberlu de mari….