Jean Valentin Andreae utilise, dans son oeuvre exceptionnelle «Christianopolis» (la ville christique), le symbolisme de la «Jérusalem céleste» comme celui de la cité idéale. Il invite le lecteur à retrouver l'harmonie intérieure qui doit naître de la relation rétablie avec le pur champ de vie des âmes humaines libérées.Ce mythe de la ville parfaite, comme le reflet de l'homme parfait, de l'homme-microcosme, est commenté et expliqué dans ce livre par Jan van Rijckenborgh dans sa dimension intérieure, en rapport avec les processus spirituels de reconstruction du temple intérieur que vivent tous ceux qui vont à la découverte du Royaume-en-eux, en tant qu'Hommes-Christ.