Depuis quatre ans le « Vicomte » était absent de la devanture des librairies. Le voici qui revient dans un roman où le cynisme et l’amoralité tranquille de certains personnages deviennent les éléments moteurs d’un piège extraordinaire que les uns tendent aux autres. Un piège minutieusement préparé et dont les rouages sont mis en mouvement par le Vicomte et Vigo Curruci un jour gris de la fin de l’automne alors que la première neige vient de tomber sur Moscou. Un piège qui, comme beaucoup de pièges, risque, en cas de pépin, de se refermer sur ceux qui l’ont fabriqué.