« Un homme pris dans la foule de tous ces hommes que les ascenseurs verts des maisons convenables déversent chaque matin dans les rues qui s’éveillent. Un homme, un jour d’hiver, déjà lointain. 19.. Noël bientôt. Quel âge avez-vous ? Non, il n’aurait pas dû prendre le métro. — Qu’est-ce que vous dites ? Mais taisez-vous donc ! Et qu’est-ce que ça a d’exceptionnel la jeunesse, la sienne et celle des autres, de ceux qui sont jeunes quand je ne le suis plus... Une ville, la pluie, le froid, les autres et tout ce qui reste à prendre. J’enrage. Non. Je rentre à la maison. Il fait nuit. Et la rupture m’a fait retrouver le monde et les hommes. Je m’appelle Chevalier ». Chacun, comme Chevalier, doit retrouver le monde et les hommes. Ce premier roman le montre avec une force peu commune.