Les deux récits qui constituent ce roman forment un rébus. En ce sens qu'ils s éclairent l'un l'autre, et s'insèrent alors dans un ensemble qui n'apparaissait pas d'abord. Les murs découverts par ces déménageurs amateurs derrière les tapisseries arrachées, ne seraient-ils pas, finalement, ceux-là mêmes qui enferment Rodolphe et qu'il s'acharne à déchiffrer ? Déchiffrer ce mur blanc, ou, pour les autres, comprendre Rodolphe, ces rébus, dont la solution reste à découvrir, sont également le sujet de ce livre : si Dieu est présent dans chaque grain de poussière, et si nos cheveux mêmes sont comptés, il suffirait de savoir regarder chaque grain de poussière pour y découvrir la vérité... Aussi, Rodolphe, seul au milieu des hypothèses hasardeuses, le charmant, l'odieux Rodolphe, est-il à la recherche de la connaissance au niveau des choses, par les choses : rébus.