Au début des années 1970, Alex Kerr, jeune étudiant américain, acquiert une maison abandonnée, plusieurs fois centenaire, sur l’île japonaise de Shikoku. Ce sera le point de départ d’une vie d’écrivain, d’antiquaire, d’expert érudit et passionné du Japon.
Écrit à l’origine en japonais, ce récit enchanteur y suit les pérégrinations de l’auteur pendant une trentaine d’années.
Un plongeon, suave ou déroutant, dans l’architecture, les arts traditionnels, la calligraphie, le théâtre kabuki, l’histoire et la vie contemporaine de l’archipel nippon, des vallées reculées aux grandes métropoles modernes. Le pays du soleil levant jetait alors les derniers reflets de sa nature luxuriante et de campagnes préservées.
Nostalgique de ce monde perdu, critique de la quête effrénée de modernité, si destructrice du patrimoine culturel et naturel, Alex Kerr continue pourtant d’aimer le Japon de tout son être. Ce livre annonce sa perpétuelle renaissance.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né en 1952 aux États-Unis, Alex Kerr est un spécialiste des arts et des cultures d’Asie orientale. Conférencier et antiquaire, il est un infatigable conservateur des arts traditionnels du Japon. Japon perdu est son premier livre, écrit originellement en japonais et lauréat du prix Shincho Gakugei en 1994.