Pourquoi ce titre « Fusains et sanguines ? » Parce qu’il m’a semblé que les sonnets composant ce troisième livre pouvaient prétendre, en majorité et comme les précédents, représenter des petits croquis, des petits tableaux historiques ou autres. Donc, après « Eaux-fortes » et « Estampes », j’ai pensé que « Fusains et sanguines » pourraient terminer une trilogie procédant de la même inspiration. Le lecteur y trouvera encore des scènes antiques, chères à mon cœur, mais aussi des croquis sur l’Orient et Venise, de nombreux souvenirs de voyages, et des vers plus intimes dans le chapitre intitulé « Tourbillons ». Quelques-uns de ces vers réussiront-ils à l’émouvoir ?