« Le parti pris de l’amour veut une poétique de la débâcle, quand cet amour, au paroxysme, atteint la froideur, et que le coup d’œil porte, au-delà du secours, la menace. La rigueur allant, par inclination, soit au couperet soit à l’insomnie, tout ceci brûle dans la monodie d’une vie dilapidée mais ne se retrouve jamais dans l’édifiante mémoire. D’où, sur l’instant, le nécessaire poème. » Jean Todrani