L’auteur nous présente une galerie de personnages, tantôt soldat ou poétesse, tantôt philosophe ou animal, qu’il décrit avec un brin d’humour et beaucoup d’amour. En se servant du mont Saint-Hilaire comme toile de fond, l’auteur parle de la mort, d’environnement, de gros bon sens et du sens de la vie. Il amène le lecteur dans le train, lui parle d’un homme d’affaires, l’entretient de poissons argentés et de hibou tout en lui murmurant à l’oreille que la montagne est la plus belle des confidentes.