Un pavé — que dis-je ? — une avalanche de pavés dans la mare d’amour où se baignent les couples. La rosserie d’Andrée Malard dirige la plupart des éclaboussures contre l’homme, ce partenaire si plein de défauts : « Qu’est-ce qui est menteur, pas franc du tout, et bluffeur ? C’est l’homme. » Mais la mare, parfois, n’a pas de rides. Andrée Malard, alors, chante les joies de l’amour. Puis, elle passe des « ... gosses au petit cœur tendre » à « ... l’homme qui marche, qui marche dans la rue, son cœur se prolonge, se prolonge dans la rue. » Une poésie aux couleurs d’images d’Épinal.