« […] Il était trop tard pour reculer. Déjà elle m’avait croché le bras et m’exposait tout un programme de réjouissances champêtres, laborieusement édifié par elle. Elle m’accablait de paroles pressées, me parlait de sa reconnaissance (?), de notre amour définitif, m’expliquait son petit caractère intime et ses projets d’avenir, dont le plus innocent était notre mariage prochain, et la mise en chantier d’un enfant blond, qui se prénommerait Bob (!). » Agrémentés de dessins de l'auteur gravés sur bois par Marcel Bovis, Gus Bofa (1883-1968) nous offre ici 25 textes satiriques.