L’œuvre de Poulbot est l’une des plus connues, et sa popularité, rivale de celle que Forain a conquise, s’élargit et dépasse — en certains milieux — la notoriété du Maître. Il semble inutile de décrire celui qui a fait se multiplier tant de lithos et de dessins, le « môme » de Montmartre, maigriot, nerveux, insolent, à la tignasse raide ou à la natte pauvre, curieux, joueur, gobeur et sceptique. Poulbot l’a trop souvent croqué pour que j’y revienne.