Dix-huit mois de service armé, dont douze comme infirmier à la garnison de Strasbourg. L’auteur s’emploie au mieux à développer ses connaissances médicales et de secourisme. Libéré, il persiste en cette voie, et entre en formation au Centre hospitalier d’Annecy. Vite accepté, il est affecté, durant une année, au bloc opératoire et aux soins des grands malades. Le rappel sonne pour la classe 52. Peut-être bien mieux que d’autres, est-il prêt ! En Algérie, il se retrouve chef de pièce mortier. Enfin, il sera logiquement récupéré comme infirmier au bataillon.