À fleur de sang, puis Parole d’homme, plus que des pièces de théâtre, où l’apparence est le moteur de l’action dramatique, sont une langue où le verbe — faisant fi du décor — est la synthèse de la pensée et du cœur de chacun des personnages. En retrouvant le sens du texte, l’action suit. Ainsi, dans À fleur de sang, Franck, comédien, décide un soir de ne pas jouer... rencontre choc entre le public, lui et lui ! Dans Parole d’homme, Herz et Kleinchen partent à la rencontre du temps qui les unissait, parlant « de tout, d’eux-mêmes, de rien, de Dieu... mais aimer en leur âme et conscience, qu’est-il devenu ? »