Meurs... et deviens

« La bibliothèque est mon lieu de travail, de délices. Les livres ouvrent pour moi leurs arcanes, et m’infusent de réelles énergies. Je leur devrai plus d’intelligence, une maturité dont je sens le poids, une idolâtrie pour toutes les formes de la grandeur... Mon corps, ce n’est pas moi ! Le long martyre enduré n’a blessé que ma carcasse, sans mutiler la forme invincible, l’énergie intérieure, qui maîtrisent et dominent le désespoir. Mais qu’il est long, qu’il est douloureux et parsemé d’embûches, le chemin où l’on va jusqu’à soi. »