Le plus astucieux des titres. L’histoire se passe à l’ombre d’un château campagnard, à notre époque où le collège mêle les jeunes et crée des attirances nouvelles. Il y a l’amour de la terre, l’amour du cheval et, comme toujours, l’amour romanesque. Et puis, aussi, avec la pilule, l’amour qui butine à toutes les fleurs ; le passionné et l’amusé. Et vous cherchez le sauvage. Mais, justifiant son nom, et de nature rebelle, il n’a pas si tôt fait de se dévoiler. Le sauvage, l’amour sauvage a, pour s’exprimer, des feux que vous ne soupçonniez pas ; et même l’illustrateur, le grand Jean Chièze, se sera bien gardé de trahir le mystère, vous en laissant la surprise et le mérite sous l’équivoque du titre.