Michel aimait Gilles. Gilles aimait Aurélia. Aurélia aimait Maya et Maya était une panthère. Trois passions malheureuses : Gilles est mort, Maya est morte, Aurélia reste seule, femme sans homme et sans panthère, et Michel, lui aussi désormais solitaire, se rappelle et raconte... - Son récit est impudique comme une confession, passionnant comme un roman, lyrique comme un poème, mystérieux comme un rêve, implacable comme une tragédie. C’est une tranche de vie, une histoire d’amour et de mort où le romantisme et l’érotisme s’appellent et se répondent en un surprenant dialogue. - Le récit s’impose à votre attention et votre sensibilité de la première à la dernière ligne. Mais il vous poursuit alors même que vous avez refermé le livre. Impossible d’échapper à l’envoûtement, à la fascination d’Aurélia. Vous allez tour à tour adorer et haïr cette femme tantôt de flamme, tantôt de glace, vivre avec elle et Gilles les quatre saisons d’un amour fou, né au printemps et qui mourut en hiver, après s’être déchaîné le temps d’un été et d’un automne brûlants. Mais vous ne connaîtrez pas encore, et vous n’oublierez jamais plus Aurélia, La femme à la panthère.