Une belle-mère de trente ans. Une belle-fille de dix-huit. L’une à Paris. L’autre à Washington. L’une au lendemain du mariage. L’autre au lendemain d’une « aventure ». L’océan qui les sépare. L’affection qui les unit... Voilà toute l’histoire de ces Lettres que Pascale envoie à travers les espaces « à la recherche du cœur perdu » d’Isabelle. Lettres de profondeur et de joie, traitant le plus beau sujet du monde. Lettres sans timidité, où le fait physiologique prend résolument le pas sur l’allusion, cette éveilleuse de trouble. Lettres d’audace et de pureté, où « tout est dit » et replacé dans l’admirable contexte de la Création. Puissent les jeunes filles, à l’heure où elles affrontent la vie, puissent les fiancés, au seuil des immortelles promesses, bâtir leur avenir sur les valeurs ici encloses. Le bonheur, alors, ne serait pas loin.