Née en Suisse, mais d’origine allemande et norvégienne, Sarah Laberge-Mustad est arrivée au Canada en 2003. En vraie citoyenne du monde, elle a habité en Espagne, au Costa Rica et au Kazakhstan et apprends aujourd’hui le mandarin, sa septième langue. Après des études en Sciences économiques, elle se lance dans la traduction et obtient son diplôme de l’Université du Québec en Outaouais en 2008. Après un bref passage en traduction administrative, elle se consacre aujourd’hui presque entièrement à la traduction littéraire de l’anglais et de l’espagnol vers le français. Elle a notamment participé à différentes traductions, dont celle de Beyond the Indian Act(Au-delà de la Loi sur les Indiens) ou celle de The Dodecahedron, or a Frame for Frames (Le Dodécaèdre ou Douze cadres à géométrie variable). Elle a également traduit plusieurs nouvelles, dont El hombre sirena (L’homme sirène) de Samanta Schweblin et My Husband’s Jump (Le saut de mon mari) de Jessica Grant. Elle traduit Maisons vides (2021) et Ce corps à pleurer chez Mémoire d'encrier.