La première modernité a établi un dialogue entre les diverses formes d’expression que sont la peinture, la sculpture, l’architecture, la poésie, la musique, la danse, voire la mode vestimentaire. Celles-ci constituent autant de membres échangeant dans cette république artistique faisant figure de pendant à la République des lettres. Alors que s’édifient les premières institutions consacrées à l’enseignement des arts, créant une distinction entre les beaux-arts et les corporations d’artisans et apportant une certaine légitimation à l’artiste, la réflexion sur les arts trouve un nouveau souffle dans les théories esthétiques qui se développent à la même époque et qui puisent leur inspiration dans les réflexions sur le rapport entre plaisir et sensations, mettant de l’avant l’expression d’une subjectivité sensible.
Andréane Audy-Trottier est professeure associée à l'Université du Québec à Trois-Rivières et membre du Centre interuniversitaire de recherche sur la Première modernité (DIREM 16-18).
Kim Gladu est professeure associée à l'Université du Québec à Rimouski et chercheure associée au Centre interuniversitaire de recherche sur la Première modernité.
Nelson Guilbert est secrétaire aux communications de la Société internationale d'étude du XIIIe siècle (SIEDS).
Marie-Lise Laquerre est associée aux activités sur l'histoire et la pensée modernes et chargée de projet (IAMQ, Bibliotheca numerica 16-19).
Editeur : Hermann
Publication : 26 février 2020
Edition : 1ère édition
Intérieur : Noir & blanc
Support(s) : Contenu téléchargeable [PDF]
Contenu(s) : PDF
Protection(s) : DRM ACS4 (PDF)
Taille(s) : 1,1 ko (PDF)
Langue(s) : Français
Code(s) CLIL : 3667
EAN13 Contenu téléchargeable [PDF] : 9791037006493
EAN13 (papier) : 9791037003362
18,99 €