La migration internationale de ces dernières années a un visage de plus en plus féminin. Les situations économiques des femmes en migration ne cessent de se diversifier et de se complexifier. Tout en contribuant à la reconfiguration des économies locales et globales, celles-ci sont souvent confrontées à l’épreuve de la disqualification sociale. Certaines deviennent objet de déni de reconnaissance et de violences symboliques. En analysant les parcours biographiques et les expériences migratoires de ces femmes, Laurence Roulleau-Berger montre comment elles redéfinissent leur identité à partir d’une multiplicité de rôles et d’appartenances dans un contexte globalisé et multistratifié.
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