Frédéric Pellion

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A propos de l'auteur

Peut-on considérer le mélancolique comme un pur et simple malade de la vérité ? La vérité que Freud débusque à l'oeuvre derrière la plainte mélancolique est-elle le dernier terme que la dépossession mélancolique préserve ? Ou au contraire, la compétence spéciale du mélancolique recouvre-t-elle et désigne-t-elle la part d'inconsistance que toute vérité recouvre ?

Au terme de cette enquête pouvons-nous décider si le mélancolique est momentanément ignorant de la vérité ou, si comme l'affirmait Freud, il "s'est passablement approché de la vérité" ? De quel côté de la vérité est-il ? En fait entre les deux cas, la vérité a changé de nature et de lieu, ce dont s'approche le mélancolique freudien est une vérité écornée et dépendante du sujet qui la nomme.

Sommaire :

Première partie : DU VRAI ET DU FAUX CHEZ LES MELANCOLIQUES

Deuxième partie : VERITE ET OBJET

Troisième partie : L'OBJET MELANCOLIQUE

Quatrième partie : LE TEXTE MELANCOLIQUE

Cinquième partie : LE REGARD MELANCOLIQUE

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